Bienvenue [pv Morigo et les chiens de la tribu du nord]

C'est alors que la husky m'avait proposer de m'emmener au près des humains, ayant les connaissances nécessaire pour me soigner, je le savais ça malgré tout mais je ne voulais pas m'infiltrer, comme sa, ou je ne devrai pas y être, ah mais je suis idiot ! Je me gène jamais de rentrer ou je ne devrai même pas laisser le bout de mon museau y dépasser. Mais j'avais peur, peur qu'on prenne pour un loup désormais, malgré que je n'ai aucune gène de loup. Mais bon, je dis n'importe quoi là moi ! Je boitais en avançant, ayant ma patte arrière gauche complètement déchiquetée par les crocs de la monstrueuse et piteuse bête des mers ! J'ai eu de la chance que je ne l'ai pas perdu en route ma pattoune ! Mais c'étais pas tout... J'ai encore le ventre et l'épaule qui était dans un état pitoyable, et assez moche, vraiment moche. Je dois même avouer que j'ai cru que j'allai y passer, mais la renarde, la lapine, ensuite la louve-chienne était venu me secourir, elles sont folles ici ! En plus de sa, suicidaire... Et Laïka qui me vint en aide maintenant, d'ailleurs en parlant d'elle, elle était toujours un peu appuyer contre moi, me retenant au cas ou si je tombais. Bon, sa m'a vraiment empêcher de tomber 2-3 fois, mais c'était un aide. Au ciel, nous pouvons presque observer les étoiles, plus magnifique les une que les autres, la neige était blanche, logique, et le ciel noir . Je leva la tête en l'air, pour observer toute cette splendeur, plus j'avançais, plus j'étais impressionné, une étoile filante par ci, et une autre par là, et cette fois, je n'étais pas seul pour observer ceci. Je remis mes esprits en place avant de me concentré sur se que je faisais, surtout ou je marchais. C'est alors que je vis enfin des tâches noires au loin, avec de la fumée. Sa pourrait être les Inuits. Nous y approchons pas à pas, j'accélerai le pas, pour enfin laisser tranquille la chienne, qui m'avait un peu supporter jusqu'à là, je la regardai en sourit, elle était belle et gentille. Mais bon, je ne tarda pas à effacer mon sourire en sentant des regards sur mon dos. C'est alors que des têtes de chiens se redressèrent, me regardant, mais ne reagissant pas... Surement parce que j'étais avec Laïka.

Nous dépassons donc les chiens qui me scruta malgré tout. Je ne pense pas qu'il voit beaucoup de chien solitaire et inconnue venir ici. Mais je les enviais moi, étant ici, protéger et en bonne santé. Pouvant travailler en équipe pour tirer les humains. C'est surement quelques chose que je ne pourrai plus faire dans ma vie de solitude. Je laissais derrière moi quelque gouttes de sang coulait, mettant un peu de rouge sur la neige. Mais on ne tarda pas a s'arrêter devant l'un des igloos, le principale surement.
Les chiens vinrent se mettre autour, curieux de se qu'il se passait. Je me sentis vraiment observer, mais ne fit mine de rien. J'avais un peu l'habitude aussi, bien heureusement, je tourna la tête sur la gauche pour voir ma pattes arrière amoché. Je ne l'avait pas poser au sol sous le douleur, mais je fus un peu surprit par l'aboiement de Laïka. Je retourna donc la tête brusquement, pour regarder devant moi, sentant de l'agitation à l'intérieur de l'igloo. Et ce fus un homme qui en sorti le premier, comme tout les habitants d'ici, il avait la peau foncé, portant de la fourrure. Rien de tel pour avoir chaud, surtout pour un humain. Il m'observa un moment, surprit de mes blessures profondes et assez grave. Il finit quand même par regarder Laïka qui m'était venue en aide, pour m'ammener jusqu'ici. Et je lui en ai vraiment reconnaisant.

- Oye ! Qu'est ce que tu me ramène là ?!

Je regardais l'humain qui retira aussitôt son geant, c'est alors que je mis les oreilles en arrière. Il tendu sa main pour la poser sur mon pelage, tâtant. Suivant où il mettait sa main, je poussa un léger gémissement. J'ai jamais eu aussi mal de ma vie, et j'ai jamais été autant blessé. Ma venue ne tarda vraiment pas à attirer du monde dehors, tous autant curieux les un que les autres. Mais moi, je fus plus "intéresser" par la jeune femme qui sortait de derrière l'homme qui m'examina, et aussitôt deux enfants qui sortirent par leur parents, apparemment. J'agita un peu la queue, légèrement émerveiller pour les humains et leur façon de vivre ensemble. Et je passa mon regard vers Laïka, qui m'assura toute confiance.

J'essayais d'observer chaque gestes de l'homme qui me parcourut les endroits, cherchant la petite bête, enfin plutôt mes blessures. C'est alors que j'abandonna, mon oeil droite ne suivait plus rien du tout ! Pour finir, je regarda la husky qui c'était un peu éloignée, malgré tout je tenais debout, mais l'homme me retenait quand même un peu, j'observa les traces de sang que j'ai laisser sur le magnifique et doux pelage de Laïka, elle était vraiment courageuse, robuste, se mélangeant d'une immense bravoure, en même temps, en tant que chien d'attelage, elle en a du en voir. Comme moi autrefois, tant de découverte, et d'entre-aide, tant d'aventure... Le bipède se retourna vers Laïka, la caressant sous quelques paroles douce.

- Bien ma brave fille, ma belle tu as bien fait.

Je souris en la voyant heureuse auprès des humains, sa me rappela vaguement de mon passé, disparu dans l'ombre. Bon, j'en étais pas si malheureux sur mon territoire, mais se qui me rend vraiment triste, c'est de savoir que je vais surement pas bouger une oreille pendant quelques temps. J'aurai toujours cette envie de vitesse, de rebondissement. Bon, l'humain se retourna vers moi, reprenant se qu'il comptait faire. Il se mit à ma hauteur, glissant une main entre mes pattes, une autre sous ma poitrine, me portant ainsi, il se releva, mes pattes se détachait du sol. Je pouvais observer tout le monde depuis la haut, mais l'homme se retourna pour entrain dans l'igloo, me posant sur une fourrure aussi douce que mon pelage.
Je sentais la chaleur du feu qui c'était propager dans l'igloo, c'était agréable. J'entendu des enfants arriver vers moi, étant heureux, je posa délicatement une de mes pattes avant sur le ventre de la petite fille, la retirant immédiatement. Je fini par regarder l'homme, qui semblait malgré tout attentif. C'est alors que je m'allongea, poussant un espèce de grognement, mêler à un gémissement rauque.

C'est alors que la fille se mit à rire lorsque j'avais mit ma patte sur son ventre, et le garçon suivit aussitôt son rire. C'est alors que l'humain qui m'avant emmener à l'intérieur vint se mettre devant moi, avec des rouleaux, un seau d'eau, et une espèce de fiole. J'observais chaque objet chaque objet qu'il avait, me demandant se qu'il allait faire, mais je ne me prépara pas au pire, de loin. C'est alors qu'il prit une lingette, la trempant dans l'eau qui se trouvait dans le seau, et vint essuyer mon pelage blanc tacheter de sang. C'est alors qu'on pouvait mieux voir mes marques profondes, qui malgré tout, continuais de saignais. Je sentis une douleur intérieurement en regardant mon basin, je me demandais même comment j'ai pu survivre à cette attaque qui m'avait prit de plein fouet, m'emmenant dans les profondeurs du lac. Je secoua ma tête pour essayer de plus y repenser, mais je ne bougea pas, puisque le bipède examina mes plaies. C'est alors qu'il lança à la femme.

- Léopard de mer.

Cette immense créature des mers me donnait des frisons. Je me demandais si je pourrai vraiment guérir un jour. Mais j'effaça rapidement cette pensées. Je voulus essayer de me relever, mais cette fois-ci, ne n'était sans succé, je regarda l'homme en poussant un léger aboiement. Comme pour lui dire quelques chose, je voulut plutôt savoir si je pourrai recommencer à courir dans la neige un jour. Parce que se sera surement la chose qui me manquera le plus !

(Oui je m'éclate avec les mots Inuit mais ça veut pas dire que je sais parler la langue x))

Il appliqua avec délicatesse de la pommade sur toute mes marques de dent de léopard de mer. Suivant quoi, je poussai un faible gémissement. Mais
C'était pas vraiment douloureux, juste que je fus un peu surprit à chaque fois . Il prit bien le temps pour mettre la pommade, avec une grande application. Des qu'il eut terminé, il commença a me mettre des bandes sur mes blessures, pour eviter tout saignement. Lorsque j'ai voulu essayer de me relever, il mît sa main sur mon épaule, disant d'une langue inconnue

- Aatsaat unippoq.

Bien que je n'eus pas comprit, je resta immobile, lui laissant vraiment faire se qu'il souhaitait .. Il prit mon bassin entre ses mains, le faisant un peu bouger. C'était surtout la ou j'avais vraiment mal, je baissa les oreilles, comme pour montrer mes faiblesses, et me crispa un peu sous la douleur. L'homme ayant comprit , appliqua une bande qui fessait passer entre mes pattes. Des qu'il eut terminer, je lui renifla la main, pour par la suite faire une petite léchouille en guise de remerciement. Mais je ne savais pas exatement se qu'il entreprenait de faire desormais. C'est alors que je posa ma tête au sol, sur la fourrure, attendant, impatient.

Je regarda le bandage que l'homme m'avait soigneusement fait au bassin, jusqu'à se je sursauta un peu en sentant sa main se déposer sur mon pelage, je trouvais cela agréable, une autre sensation que je n'avais plus jamais sentie depuis des lustres. C'est alors qu'il lança, toujours avec sa langue bizarre.

- Taima, ilorisarpoq ivvit maanna.

Je pencha la tête légèrement, comme pour dire que je n'avais rien compris, mais c'était pas bien grave. Je regarda la femme, qui faisait mijoter je ne sais quoi dans un récipient au dessus du feu qui dansaient. Elle prit également un autre récipient,pour faire verser quelque chose dedans, et le tendu à l'homme.

- Tiiturumavit ?

- Aa, nakurmik.

Un grand moment de silence s'installa dans l'igloo, laissant simplement le grésillement du feu. Je scruta l'endroit dans les moindre recoins. Retrouvant de la fourrure par ci, et par là. Je m'ennuyais un peu à ne rien faire ici, je regarda tour à tour les humains présents dans l'abris.

- Uvanga aperaa kinauvit...

- Nani tikippoq ?

- Aassuk...Laïka nanivoq.


La seule chose que j'avais compris là, c'était Laïka. Et ben d'ailleurs, elle est où ? Je l'avais un peu oubliée quand l'humain m'avait soigné, j'étais trop pré-occuper par la douleur. C'est alors que j'essaye de me relever, poussant un aboiement, comme pour dire quelque chose à l'humain, j'aboya une seconde fois, commepour faire presser les choses.

L'homme me retenu pour ne pas que je bouge, c'étais pas de ma faute si je m'ennuyais... Limite je deviendrai une statue.

- Auka auka ! Innarpoq ! Tukisivit ? Aaniaq iterpoq, qimappaa aanniasiuti pivoq.

- Immaqaa takuvoq guma Laïka ?

- Laïka ? Oh li !

Apparemment ils auraient compris que je voulais voir la belle Laïka. L'homme de releva, retirant sa main de mon dos, pour se diriger vers l'entrée de l'igloo. Lorsqu'il ouvrit la porte, un courant d'air froid s'enfila à l'intérieur. Je frissonna un coup, même si j'y étais habitué. C'est alors que Laïka arriva, pour me rejoindre. Je la regarda s'approcher, laissant un silence couler entre deux. Comment la remercier de m'avoir emmener ? Je soupira un peu avant de lancer d'une voix calme.

- Merci beaucoup.

[En manque d'imagination]

- Mais de rien voyons, je t'avais promis qu'on prendrait soin de toi, qu'on te guérirait, je t'avais bien assuré que j'en étais certaine.

- Oui...

Encore un silence coula entre nous, je ne savais que dire, je regardais l'humain qui était retourné vers sa compagne. Il m'avait vraiment bien soigné, même si c'était qu'un début. Je voulais me redresser sur mes pattes, mais je ne pouvait vraiment pas . Le risque était que sa empire mes blessures, et c'était pas mon but. Je secoua un peu de la queue, étant heureux de m'être retrouvé ici, grâce à Laïka. Je passa mon regard sur me patte arrière, essayant un peu de la bouger, mais sans succès, j'espère vraiment que cela va guérir, sinon je serai obligé à ne marcher que sur trois pattes, et je ne pourrai plus courir. Je repassa mon regard vers Laïka, avec avec une de mes pattes avant, je gratter légèrement la fourrure qu'il avait au sol.

- Je veux courir à nouveau...

- Tu courras, mais sois patient, tout simplement et ai confiance.

Je ne pouvais plus attendre, vraiment plus. J'avais toujours cette grande envie d'aller m'aventurer, aller découvrir.... Pointer mon museau où il ne le faut pas. Comme je l'avais fait avec cette renarde des neiges. Qui était aussi, venu à mon secoure face à se terrifiant léopard de mer... Je releva vivement la tête, presque décidé que je devrai porter ses blessures pour le restant de mes jours. Je regarda toujours Laïka, le regard rempli d'espoir, l'espoir de pouvoir attendre, être patient. Je poussa un léger aboiement, remuant joyeusement de la queue. Mais j'avais quand même cette envie de partir. Je passa mon regard sur l'homme, qui m'avait soigné il y a quelque minutes de cela. Je ne savais pas vraiment comment l'en remercier... Je trouverai bien un moyen lorsque je serai en état de marcher, et bien guérit.